COMPTE RENDU DE RÉUNION DE CONSEIL MUNICIPAL
Séance ordinaire du 11 septembre 2025
(Convocations du 3 septembre 2025)
Le Conseil Municipal de la Commune de Lecelles, légalement convoqué s'est assemblé à la salle polyvalente à 19h.Vous pouvez télécharger le compte-rendu sous format pdf.
Étaient présents :
Jean-Claude MESSAGER
Danièle VERMANDERE
Alexandre SCHNEIDER
Véronique SIBILE
Jean-Michel RAVIART
Dominique TREHOU
Hermine DELESALLE
Patrick DUSSART
Jean-Pierre FLOQUET
Anne-Marie DELHAISE
Henri-Jean LISSE
Coralie DAELDYCK
Emmanuel TIRLEMONT
Marie POLLET
François MARTIN
Eliane RENAUD
Sébastien DRAPPIER
Isabelle DECOBECQ
Laurence BAISIER
Étaient absents :
Hervé WARGNYE, procuration
donnée à Danièle VERMANDERE
Nadège TANIERE, procuration
donnée à Jean-Michel RAVIART
Sandrine CAILLEAU, procuration
donnée à Jean-Pierre FLOQUET
Jean-Pierre HUEZ, procuration
donnée à Patrick DUSSART
Début de séance 19:09
1 - Autorisation à M. le Maire de signer une convention de participation financière avec le SIDEN-SIEN Noréade
Des travaux d'assainissement
vont être effectués
par le SIDEN-SIAN / Noréade dans
la rue de
Choques. La Commune
envisage une réfection complète
de la voirie dans la continuité
de ces
travaux afin d'avoir
une réfection uniforme de la voirie. Afin de faciliter la coordination
des travaux, ces travaux seront pris en
charge par la Commune.
Une convention
de participation
financière doit être
mise en
œuvre entre
le SIDEN-SIAN /
Noréade et la commune
pourqu'ils puissent
procéder ensuite au remboursement des travaux
au prorata de ce qui est de leur compétence.
Monsieur le maire : On a des travaux sur la rue de Choques pour faire l'assainissement. Depuis 2017, tous les ans ça été reporté. Sur 2025, ces travaux vont avoir lieu et démarre la semaine prochaine sur une demie chaussée, la moitié de la route sur la partie de Lecelles. On a eu plusieurs réunions avec Noréade les travaux vont s'engager et dureront 3 mois si on n'a pas de remontée de nappe. La route sera fermée la journée, ouverte aux riverains le soir et matin, et bien sûr pour les urgences.
Question de Sébastien Drappier :
Pourquoi n'avons-nous pas effectué ces travaux quand Maulde a fait
les siens en 2021 ?
Réponse de monsieur le maire :
Ce n'était pas le même tout à l'égout et c'est Noréade qui
fait. On ne peut pas intervenir sur une partie où on n'aurait pas
été remboursé.
Emmanuel Tirlemont : Ce
n'est pas le même réseau.
Sébastien Drappier :
Imaginez quand même, en ayant un peu de bon sens, vous êtes sur une
route qui n'est pas bien large, on fait tout, on fait le côté
Maulde, on fait le côté Lecelles. Quand on a fait la rue de
Chorette, on a fait les deux côtés.
Emmanuel Tirlemont :
Techniquement ce n'est pas le même assainissement. Il y a un
assainissement parallèle, ce n'est pas le même tuyau.
Sébastien Drappier :
Monsieur Tirlemont, vous me dites que ce n'est pas le même
assainissement mais je pense que l'eau qui coule arrive à la même
station d'épuration. Le plus important est que la rue de Choques
ait son assainissement.
Voté à l'unanimité
2 - Centre de Gestion 59 -Demande d'affiliation du Syndicat Mixte des ports intérieurs du canal Seine-Nord Europe
Le Syndicat Mixte des ports intérieurs du canal Seine-Nord Europe a demandé son affiliation volontaire au Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale du Nord (CDG59). Le conseil municipal doit donner son avis sur cette demande.
Voté à l'unanimité
Questions diverses
Anne-Marie
Delhaise : Devant chez moi, Enedis a changé les lampes, est-ce
pour mettre des Leds ?
Monsieur le
maire : ce n'est pas Enedis, c'est une entreprise qui finit
le remplacement sur la commune, il restait environ 60 lampes
Laurence
Baisier : Ça concerne aussi la rue de Chorette ?
Monsieur le
maire : Il y a un câble qui était sectionné dans le sol. Ça
va être réparé.
Sébastien
Drappier :
Monsieur le maire, j'aimerai connaitre votre position quant au
stationnement des caravanes double essieux et accessoirement quand
les gens vivent dedans. Il y a des gens du voyage qui se sont
positionnés sur un rachat d'une maison, probablement pour y mettre
leur caravane.
Monsieur le
maire : rue du Grand Sart ?
Sébastien
Drappier :
oui tout à fait.
Monsieur le
maire : Pour l'instant il n'y a rien de signé.
Sébastien
Drappier :
Je pense qu'en France le stationnement des caravanes est interdit
au-delà de trois mois. On ne peut pas vivre dedans même si on est
propriétaire du terrain, on voit très bien ce qui se passe autour
de nous, A Saint-Amand, à Raismes ou à Denain. C'est un sujet qui
revient souvent à la CAPH. J'aurai aimé avoir votre position.
Monsieur le
maire : Ma position ?
Monsieur le
maire : C'est votre façon, de voir les choses. On en n'a
pas
Sébastien
Drappier : Le jour où il y en aura ?
Monsieur le
maire : Forcément, un jour, il peut y avoir des gens qui
arrivent mais ce n'est pas le cas pour l'instant. On gèrera
comme les autres communes. Après on a toujours un terrain qui doit
être fait à Saint-Amand et qui n'est pas fait, je ne vais pas le
faire à leur place. Je n'ai pas de souci, la personne qui est
susceptible d'acheter cette maison qui est en ruine, en très
mauvais état, ne peut pas être démontée car elle est en zone
agricole. Si elle est démolie elle ne pourra pas être reconstruite.
Je ne vois
pas de gens du voyage sur la commune, à part 2-3 campings car qui
viennent manger sur la place car c'est référencé.
Je n'ai
pas de soucis et on n'a pas de soucis pour l'instant aves les
gens du voyage.
Emmanuel
Tirlemont : La règle est simple : c'est constat
d'huissier, ils ont 15 jours pour bouger et pour les faire bouger
c'est le préfet qui décide quand il veut faire bouger car parfois
c'est compliqué. Même les autorités n'y vont pas parce que
c'est parfois compliqué avec la communauté. C'est ça la règle.
Hermine
Delesalle : Je ne comprends pas le souci.
Sébastien
Drappier : Une maison en ruine, en zone agricole, tu ne peux pas
l'améliorer, tu ne peux rien faire. Elle va être rachetée par
les gens de la communauté du voyage, elle va être détruite, ils
vont y mettre leur caravane, ils ne seront jamais délogés. C'est
ce qui se passe à Saint-Amand, à Raismes, à Denain.
François
Martin : on est en train de débattre sur des suppositions.
Hermine
Delesalle : Quelle est la superficie ?
Sébastien
Drappier : A cette maison, il y a aussi un terrain attenant, il y a
une bande de terrain
Monsieur le
maire : Je ne vois pas où est le problème pour l'instant.
Sébastien
Drappier : J'espère qu'il n'y en aura pas.
François
Martin : On ne va pas passer au Conseil Municipal sur une
rumeur.
Sébastien
Drappier : Je comprends que la rumeur elle vous déplaise mais malgré
tout, la rumeur sera une réalité dans quelques semaines.
François
Martin : peut-être. Ça veut dire que vous avez des infos,
partagez les dans ce cas-là, on anticipe.
Sébastien
Drappier : Je pense que je partage quand même, j'en parle au
conseil municipal. Vous me dites « non, il n'y a rien, il n'y
a pas de souci'. Je prends acte.
Isabelle
Décobecq : Il y a des craintes remontées par les emprunteurs de la
médiathèque, les bénévoles, les salariés, quant à la baisse du
budget des activités. Monsieur le président qu'en est-il ?
Monsieur le
maire : il n'y a pas de baisse significative de budget. Il y a
des rumeurs, mais il n'y pas de problèmes. Le budget a été voté
par l'ensemble des élus du SIVS. Un moment il y avait trop de
livres, on a des milliers de livres, il n'y a pas d'achat
moindre. Ce qui est demandé est demandé.
Ceux qui
veulent lancer des rumeurs, qu'ils les lancent. Je s ais ce qui est
fait et ce qui doit être fait. Ce qu'on peut faire avec les élus
parce je ne suis pas tout seul, on est 7 communes, 10 000
habitants et jusque maintenant on a aucun souci.
Sébastien
Drappier : Vous nous certifiez qu'il y a autant d'activités dans
les médiathèques qu'avant?
Monsieur le
maire : Il y a des activités qui ont été modifiées mais
c'est le rôle de la responsable des médiathèques ? Je ne
vois pas où est le problème, l'investissement est absolument
pareil depuis des années, il n'a pas changé.
Sébastien
Drappier : monsieur le président, des bénévoles disent il y a une
baisse de budget. Vous me dites ce n'est pas le cas. Peut-être
qu'il y a une mauvaise communication.
Monsieur le
maire : je ne suis pas tout seul, on est à 7 sur ce syndicat, 7
élus.
Sébastien
Drappier : Vous êtes le président.
Monsieur le
maire : Nous on travaille ensemble, il n'y a pas qu'un chef.
Ça continue, comme ça continue. Il y a des choses qu'on achète
plus car on passe on numérique, exemple les abonnements.
*
Laurence
Baisier : Lors de la réunion de commission des travaux
concernant la rue de l'égalité, nous avons dévié sur le
problème du bruit de l'antenne et des places de parking devant les
commerces, de ce fait, nous ne sommes pas rentrés dans les détails
de ces travaux. Quelles est la nature des travaux ?
Monsieur le
maire : pour l'instant les travaux sont en standby du fait
qu'on fait la rue de Choques. On verra après. La nature des
travaux est de refaire les trottoirs et la chaussée.
Laurence
Baisier : et l'assainissement ?
Monsieur le
maire : l'assainissement c'est Noréade. Si on a un
assainissement en mauvais état, Noréade interviendra.
Laurence
Baisier : Et concernant le riverain, vous avez des nouvelles ?
Monsieur le
maire : Oui. Le responsable de l'antenne Free, est venu. Ils
ont changé les axes de ventilation pour qu'il y ait moins de
bruit. Par contre, l'hiver ça va s'estomper parce que ce sont
des refroidisseurs, ç a tournera beaucoup moins. On est allé le
voir ensemble, on a discuté, il n'y a pas de problème. Ils ont
déjà changé un module et là ils vont venir rechanger un module.
C'est en cours, on a fait ce qu'il faut avec la région et
l'opérateur.
La séance est levée à 19h38
