COMPTE RENDU DE RÉUNION DE CONSEIL MUNICIPAL
Séance ordinaire du 23 novembre 2023
(Convocations du 15 novembre 2023)
Le Conseil Municipal de la Commune de Lecelles, légalement convoqué s'est assemblé à la salle polyvalente à 19h.Étaient présents :
Jean-Claude
MESSAGER
Danièle VERMANDERE
Alexandre
SCHNEIDER
Véronique
SIBILE
Jean-Michel
RAVIART
Dominique
TREHOU
Hervé Wargnies
Hermine
DELESALLE
Patrick
DUSSART
Jean-Pierre
FLOQUET
Anne-Marie
DELHAISE
Henri-Jean
LISSE
Coralie
DAELDYCK
Emmanuel
TIRLEMONT
Marie
POLLET
François
MARTIN
Jean-Pierre
HUEZ
Éliane RENAUD
Sébastien
DRAPPIER
Isabelle
DECOBECQ
Laurence
BAISIER
Était
absente :
Sandrine CAILLEAU, procuration donnée à Jean-Pierre FLOQUET
Était excusée : Nadège TANIERE
Début de séance 19:03
Présentation d'un nouveau commerce sur la commune
Mme
Agathe Pareyt : j'ai toujours habité Lecelles, je suis native
d'ici. J'ai commencé ma vie rue des fèves et je suis en train de la
continuer rue du grand chemin. Je suis contente de vous présenter ce
projet. Je m'installe en tant que traiteur sur la commune. Mon
activité va avoir deux parties distinctes : je crée un
laboratoire dans le garage de mes parents rue des fèves, traiteur
pour des événements professionnels et particuliers, et aussi des
casiers que je mets en place sur la commune au niveau de la mairie,
derrière la halle. Des casiers qui vont proposer 7 jours sur 7, une
cuisine variée, des plats un peu cuisines du monde, des box apéro,
snack. Il y aura un turnover assez important, puisque l'idée est de
varier les propositions. Mon objectif est de travailler au maximum
local, avec les commerces locaux. C'est en pourparlers. J'ai une
cuisine très végétale. Je suis très contente d'avoir cette
possibilité.
Ça
va s'appeler JANE cuisine gourmande.
Je
fais les formations légales : formation hygiène alimentaire,
permis d'exploitation. Cuisiner je sais faire sinon je ne me
permettrai pas de venir vous présenter ça. Au delà de ça,
j'aimerai bien développer, me former et du coup j'ai l'avantage de
rentrer dans plein de dispositifs qui permettent aux créateurs
d'entreprises de pouvoir se former et du coup j'aimerai bien
développer une formation à Paris pour être chef sushi, pour faire
de trucs un peu plus haut de gamme en cuisine asiatique et faire des
formations de perfectionnement dans le milieu.
Monsieur le maire : Je suis toujours parti du principe, même si on n'en a pas l'obligation, ne de pas essayer de nuire aux autres commerçants qui sont sur la commune. C'est important, mais Agathe s'en ai chargé. On est allé voir, on a discuté avec les autres commerçants pour qu'il n'y ait pas de problème. Au contraire, ils vont travailler ensemble, ce n'est pas la même cuisine, ce n'est pas la même façon de s'alimenter. C'est un projet qui à mon goût pouvait voir le jour. Qu'on a, et que j'ai accompagné, qu'on a accompagné à la CAPH et c'est vrai de ce fait il y aura une subvention qui sera donné par la CAPH par rapport à l'installation de ces casiers. On aura d'autres casiers qui vont arriver dans la suite, ce ne sera pas alimentaire, ce sera autre chose, on en parlera en temps voulu, c'est une autre personne qui me l'a demandé aussi. C'est des choses qui sont à mon goût d'actualité et il faut savoir aussi ouvrir un peu le monde comme tu dis à la cuisine du monde. C'est important.
Mme
Pareyt : Je ne ferai pas de concurrence directe aux pizzas,.
J'ai rendez-vous la semaine prochaine avec Romain de la boucherie
Lepers pour voir si on peut travailler ensemble. L'idée est de
proposer quelque chose de différent. L'idée m'est venue comme ça :
le soir je rentrais du travail tard et je n'avais pas forcément le
temps de cuisiner, les commerces sont fermés à cette heure là et
on n'a
pas forcément le temps et l'idée est d'avoir quelque chose de dispo
rapidement.
Il
y aura dans un premier temps 45 casiers qui seront logés dans une
bulle de vente, abrités, climatisés l'été. Si ça fonctionne,
j'aimerai ajouter des casiers et proposer quelque chose de
différenciant chaque semaine. Je souhaite mettre en place des
livraisons pour les personnes âgées, les personnes qui ne
pourraient pas se déplacer.
Pour
un plat classique à emporter ça pourrait aller de 8 euros à 12-13
euros en fonction de ce que ce sera. On part sur un panier moyen à
10 euros.
Le
paiement au casier se fera en carte ou carte ticket restaurant. Pas
de paiement espèces et vidéo surveillance.
Installation
des casiers prévus mi-décembre, fin décembre.
Démarrage
mi-janvier, fin janvier si pas de retard des fournisseurs.
Présentation des travaux de rénovation de la salle des fêtes par Emmanuel Tirlemont
On
a eu des subventions qui vont permettre de redonner une nouvelle
jeunesse à cette magnifique salle des fêtes. Rénovation,
en fait j'ai plutôt enfin de dire transition, transition énergétique
de la salle des fêtes.
Il
y a déjà des choses qui ont été faites sur cette salle des
fêtes : on a remplacé les châssis,
on a mis en conformité l'électricité et maintenant il faut aller
plus loin.
Le
projet a été bâti sur 3 piliers :
-
le confort de l'usager : personne qui vont l'utiliser et celles qui se réunissent dans la salle
-
la partie environnementale
-
la partie exploitation (coût d'entretien)
Bâtiment
éco responsable, RSE (Responsabilité sociale et environnementale),
vertueux (autonomes et qui se suffisent) en matière d'énergie.
Les
travaux concernés : on va travailler l'isolation (les murs
intérieurs) et l'acoustique de la salle, refaire la toiture et y
mettre des panneaux solaires, on va refaire l'électricité, on va
y mettre une sono de confort (qui permet de passer les discours et
non une sono pour faire la fête, quand on louera la salle les gens
viendront avec leur propres sono), on va y mettre un contrôle
d'accès (on saura qui rentre et qui sort, pour les responsables de
la salle), on va revoir le chauffage, l'isolation, la cuisine, on va
finir les menuiseries extérieures, on va travailler la peinture et
toute la partie annexe qu'on appelle le back office (où il y a les
sanitaires) sera traitée après par les équipes techniques de la
commune.
On
va mettre un plafond acoustique qui permet d'atténuer les plus
hautes et les plus basses fréquences, c'est aussi un élément
décoratif.
Les
protections : on va mettre des panneaux muraux avec des plaques
anti chocs, rigides, faciles à entretenir, esthétiques et qui vont
protéger les murs.
La
CTA (Centrale de traitement de l'air) : grosse pile réversible qui
permet de faire du chaud et du froid dans la salle et qui permet de
filtrer l'air.
On
isole la couverture avec des bacs aciers et on isole les murs
intérieurs avec une laine, un isolant et on respecte la
réglementation RTE 2012 et pour compléter tout ça on va y mettre
des panneaux solaires qui vont permettre de rentre la salle autonome
et pourquoi pas prendre un pourcentage de la consommation de la
mairie et des bâtiments annexes.
Le
plan futur : on agrandit la cuisine pour la rendre plus
fonctionnelle et effet marche en avant de la cuisine. On rentre avec
les produits
par ici et on ressort par là pour que les produits sains ne
rencontrent pas les produits souillés.
On
resserre l'entrée avec un placard et un local avec une connexion
avec le bar.
Le
bar sera rapproché pour essayer d'aligner.
L'aménagement
de la cuisine sera retravaillé après. Il y a déjà des choses mais
on va l'améliorer.
La
salle ne change pas. On garde les éclairages naturels.
L'espace
scénique ne change pas.
Ce
qu'il faut retenir c'est on va mettre toutes les installations
techniques sur la mezzanine, elle va devenir un local technique et on
va fermer à l'aplomb.
Planning prévisionnel :
-
Les appels d'offre sont partis cette semaine
-
Retours dans un mois
-
Analyse des offres, l'idée est de notifier les entreprises début mars
-
Démarrage des travaux après la fête de la fraise
-
Réouverture en octobre 2024
Isabelle
Décobecq : La salle va être plus petite, il y aura moins de
couverts ?
Emmanuel
Tirlemont : on va prendre un peu sur la salle avec la cuisine
mais on reste toujours sur le même nombre de personnes admissibles.
Isabelle
Décobecq : donc 240.
Emmanuel
Tirlemont : ça ne va pas changer
En option, si le budget le permet, on refait le carrelage.
Sébastien
Drappier : Donc le budget ?
Emmanuel
Tirlemont : Aujourd'hui on attend le retour des offres, on ne
peut pas se prononcer parce que c'est encore très compliqué avec le
retour des offres. Pour le moment, on lance l'appel d'offre et on
espère avoir de très très bonnes surprises. On
vous fera un point à date sur l'avancement des travaux.
1 – Approbation du procès-verbal du conseil municipal du 30 août 2023
Le procès-verbal de la dernière séance du conseil municipal doit être approuvé par l'assemblée.
Isabelle Décobecq : On est bien sur un procès verbal. Je vais rappeler la définition du procès verbal. J'ai pris celle du Larousse.
Nom masculin
Acte écrit, rédigé par un magistrat ou un officier public, qui rend compte de ce qu'il a fait, entendu ou constaté dans l'exercice de ses fonctions.
Je ne parle pas des questions diverses, on l'a
déjà évoqué.
Vous ne mettez jamais dans le procès verbal toutes les précisions que tout
le monde autour de la table peut demander mais néanmoins, là on a
appris des choses qui n'ont même pas été dites pendant le conseil
municipal. Il y a des choses que j'ai découvertes ce qui me semble
contraire à la définition d'un procès verbal.
Je
vais encore m'opposer à cette approbation.
Laurence
Baisier : moi aussi.
Sébastien
Drappier : De plus monsieur le maire, il y a une erreur, on
reprend l'histoire des cartes cadeaux aux bacheliers. Ce n'était
pas au mois d'août qu'on l'a voté, c'était au mois de juin. Je
suis d'accord, il n'y a pas mort d'homme, c'est une erreur. Malgré
tout vous l'avez validé, vous l'avez signé.
Ce
qui nous a un peu choqué, ce que vous avez fait voté au conseil
municipal, les 250 euros d'aide pour la lycéenne qui participe à
son épreuve sportive, jamais on a parlé de son nom, personne n'a
demandé, n'a posé la question et on l'apprend dans le procès
verbal. Pourquoi vous ne l'avez pas dit au conseil ? Pourquoi on
le lit dans le procès verbal alors que ça n'a pas été dit ?
Monsieur
le maire : J'ai donné nom et prénom
Isabelle
Décobecq et Laurence Baisier : Non.
Monsieur
le maire : On aura l'occasion de vous le donner aux vœux du
maire, elle sera présente.
Sébastien
Drappier : Le problème est que vous ne l'avez pas dit et c'est
marqué dans le procès verbal.
Monsieur
le maire et Véronique Sibile : on va le rectifier.
Isabelle
Décobecq : On se demande aussi si nous sommes les seuls à le
lire. Personne n'a remarqué qu'il y avait une copie malencontreuse
du procès verbal précédent.
Hervé
Wargnye : on n'enregistre rien.
Isabelle
Décobecq : Oui mais vous l'avez lu.
Sébastien
Drappier : C'est quand même officiel.
Isabelle
Décobecq : on a le compte rendu dans la semaine.
Monsieur
le maire : C'est pour ça que vous êtes dans l'opposition, ça
vous permet justement de pouvoir corriger ce que nous on met.
Isabelle
Décobecq : C'est avec grand plaisir. Vous pouvez l'envoyer, on
vous le corrigera.
Monsieur
le maire : L'erreur est humaine. Vous nous les avez dit, on les
a entendues, on les note.
Voté : 19 voix Pour, 3 contre (Sébastien Drappier, Isabelle Décobecq & Laurence Baisier)
2 – Autorisation d'engagement des dépenses d'investissement préalablement le vote du budget 2024
En application de l'Article L1612-1 du Code général des collectivités territoriales, le conseil municipal a la possibilité d'autoriser l'exécutif à mandater les dépenses d'investissement à hauteur d'un quart des crédits ouverts au budget précédent. Afin de poursuivre la réalisation des projets communaux, en début d'année 2024 et jusqu'au vote du prochain budget, il est donc demandé au conseil municipal d'autoriser M. Le maire à engager les dépenses à hauteur de 51 500 € pour le chapitre 21 (immobilisations corporelles) et 355 000€ pour le chapitre 23 (immobilisations en cours).
Voté à l'unanimité (22 voix Pour).
3 - Demandes de subvention de l'École Sainte-Marie
L'école Saint Marie a effectué une demande de participation financière pour l'acquisition d'un système d'alarme anti-intrusion. Ce projet a un coût important que l'école ne peut supporter seule.
C'est
ce qu'on appelle des alarmes anti-attentat. On a fait un essai lundi
matin à l'école du centre.
L'école
n'a pas le matériel pour l'instant, Monsieur Szyndle est venu me
voir pour me demander si il pouvait avoir une subvention.On peut
avoir des problèmes partout, ce n'est pas parce qu'on est des
villages ruraux qu'on serait à l'abri. Il a fait faire un devis qui
tourne autour de 6100 euros pour avoir des boutons poussoirs dans
chaque classe avec une centrale. En cas d'attentat, le rôle de la
première personne qui le voit est d'appuyer dessus pour que tous
les enfants puissent se mettre à l'abri sous les tables, derrière
les chaises, le moins voyant possible. On vous propose une subvention
exceptionnelle de 2000 euros, ce qui représente à peu près un
tiers du montant des travaux.
Sébastien
Drappier : Si je comprends bien, l'école du centre est équipée
de ce dispositif.
Monsieur
le maire : oui il y a déjà une paire d'années.
Sébastien
Drappier : ça avait coûté combien ?
Monsieur
le maire : Je ne peux pas vous dire, je ne l'ai pas en tête.
Voté à l'unanimité (22 voix Pour).
4 – Participation financière à la destruction de nids de frelons
De plus en plus de nids de frelons apparaissent sur la commune. Quand ils sont sur des propriétés privées, les particuliers ne font pas toujours le nécessaire pour les faire détruire. Afin de les inciter à faire appel à un désinsectiseur, la commune peut prendre en charge une partie des frais de destruction des nids.
Pour rappel,
il faut savoir qu'en visuel, actuellement sur la commune on en a 7
chez les particuliers. J'ai été voir deux particuliers. Pour une
personne, elle n'a pas les moyens, pour l'autre elle n'a pas trop
envie de s'en charger.
Un nid de
frelons tourne à 150 mètres autour du nid, il va un peu chez tout
le monde.
Au delà de
ça, au niveau écologique, je suis dans l'écologie comme tout le
monde car on est en plein dans la transition, un nid de frelons peut
tuer jusqu'à 15 ruches d'abeilles, c'est un très gros problème
pour la biodiversité dans notre région. Ça devient un vrai fléau,
il faut qu'on puisse les éradiquer au maximum car un nid de frelon
qui reste à l'état latent pendant tout l'hiver, l'été il va en
refaire entre 5 et 10. On va arriver dans une problématique surtout
qu'on est dans des communes rurales qui sont très grandes avec de
très grands
arbres,et c'est là qu' ils vont se cacher et une fois que les
feuilles sont là, on ne les voit plus.
Il y a un
effet au niveau de la santé, c'est quand même très dangereux. Il
faut savoir qu'il y a eu quelques personnes qui sont décédées avec
ces frelons et on ne voudrait pas non plus avoir des problèmes comme
ça sur la commune.
Par rapport à
cette réflexion, pourquoi ne pas mettre une subvention pour les
aider un petit peu, ça n'ira jamais très loin mais au moins ça
permet de faire un pas en avant pour qu'ils puissent avoir une
subvention sous certaines conditions. Il faut qu'on ait une photo du
nid et une facture acquittée.
Je suis en
train de mettre en place à la CAPH, pour essayer d'avoir des
destructeurs qui viennent sur les communes et qui soient répertoriés.
Ce soir, je
vous propose de donner 100 euros par destruction de nids.
Dominique
Tréhou : ça coûte combien ?
Monsieur le
maire : Il y a des fourchettes, globalement c'est 250 euros.
François
Martin : Si c'est dans un arbre sur le domaine communal ?
Monsieur le
maire : il n'y en a pas.
François
Martin : Si c'est un arbre au milieu des champs ?
Monsieur le
maire : On a la cartographie de tous les propriétaires, on va les
prévenir. Dans l'extrême urgence, on est habilité à détruire
le nid.
Isabelle
Décobecq : Ça sera à partir de quand ?
Monsieur le
maire : A partir de maintenant, quand la délibération sera prise.
Voté à l'unanimité (22 voix Pour).
5 – Attribution de prestations d'action sociale au personnel communal
Comme les années précédentes, M. Le maire propose d'offrir une carte cadeau à chaque agent communal, ainsi qu'une carte cadeau par enfant d'agent de moins de 10 ans.
L'année
dernière on était à 50 euros pour les agents et 40 euros pour les
enfants. On vous propose de reconduite cette même somme cette année.
Pour
info, ça sera peut-être mis dans le PV je vous le dit puisque si on
ne met pas vraiment tous les mots c'est un peu compliqué par moment,
il y a 19 agents et 8 enfants.
Voté à l'unanimité (22 voix Pour).
Infos générales :
-
Inauguration du parc intergénérationnel : le 25/11 à 11h00
-
Manière sobre, juste une petite manifestation pour montrer ce parc et l'ouvrir.
-
Inauguration dans la simplicité
-
-
Distribution des colis de Noël des aînés : le 9/12 à 9h00
-
Distribution dans les écoles : le 22/12
Questions diverses :
Sébastien
Drappier : dans le dernier conseil du dernier mandat, vous avez
demandé au conseil de l'époque de changer
le nom de l'école du centre.
Monsieur
le maire : ce n'est pas moi qui l'ait
demandé, c'est une proposition des enfants et de la directrice. Pour
l'instant, je n'ai pas eu de retours, ni de demandes.
François
Martin : Si je peux me permettre, je n'étais pas au conseil
mais j'étais dans les parents d'élèves, ce qu'on avait demandé de
voter par le conseil municipal c'était la possibilité de le faire
si jamais l'opportunité se présente. C'est possible de changer mais
il n'y a pas d'urgence. Ça n'a pas été ré-évoqué l'année
suivante.
Monsieur
le maire : Comme on est en train de regarder le jumelage,
peut-être que ce sera en même temps. Je ne sais pas, il n'y a rien
de définitif.
Isabelle
Décobecq : Quel jumelage ?
Monsieur
le maire : Avec la commune, mais ça, ça fait longtemps qu'on
l'a dans les tuyaux, mais pour l'instant il n'y a rien fait non plus.
Laurence
Baisier :
Avec qui ?
Monsieur
le maire : On devait le faire normalement avec l'Angleterre,
avec Anne-Marie et avec le Brexit, on n'a pas pu le faire. Ce n'est
pas d'actualité pour l'instant tout au moins.
Sébastien
Drappier : On ne change pas de nom de l'école.
Monsieur
le maire : Pour demain non, après-demain peut-être oui.
Sébastien
Drappier : Et pour le parc intergénérationnel, où pensez donner
un nom ?
Hermine
Delesalle : Oui, on met tout ça en place avec le CMJ.
François
Martin : Le conseil des jeunes, il y a des idées, pour l'instant il
n'y a rien de tranchant qui ressort.
Hermine
Delesalle : Pareil pour un petit règlement. On va mettre ça en
place avec eux.
François
Martin : Plus qu'un règlement, des règles d'or.
Sébastien
Drappier : Je voudrais m'adresser à vous en tant que vice président
de la CAPH ; on n'a plus les vidéos des conseils
communautaires, on en a déjà parlé, ils n'enregistrent plus.
Isabelle a fait un courrier, ils nous ont expliqué que ç'avait un
coût et que c'était peu regardé, malheureusement.
Monsieur
le vice-président :163 vues en général pour 160 000 habitants.
Sébastien
Drappier : Dommage. Ça a été fait pendant la période du COVID et
que si on voulait être au courant il fallait assister aux réunions.
Je le regrette, peut-être que vous transmettrez. On peut entendre
que ça a un coût et qu'on ne le fasse plus. Ce que je regrette
c'est que les gens ne s'intéressent pas.
Monsieur
le vice-président : C'est un coût inutile.
Sébastien
Drappier : Inutile?
Monsieur
le vice-président : pour le rendu oui. Pas inutile dans le sens de,
peut-être, filmer ce conseil mais inutile par rapport au nombre de
personnes qui regarde. C'est un coût qui est quand même énorme, je
vous l'ai dit, vous pouvez regarder, c'est entre 160 et 180 personnes
qui regardaient et il faut savoir que ce n'est pas forcément 180
personnes qui regardent, il suffit simplement d'allumer son
ordinateur. C'est un coût qui est relativement très important.
Sébastien
Drappier : c'est vraiment dommage et en plus c'était très bien
fait, bien filmé.
Monsieur
le vice-président : Ce sont des économies.
La séance est levée à 19h54
Vous pouvez télécharger le compte-rendu sous format pdf