COMPTE RENDU DE RÉUNION DE CONSEIL MUNICIPAL
Séance ordinaire du 30 août 2023
(Convocations du 21 août 2023)
Le Conseil Municipal de la Commune de Lecelles, légalement convoqué s'est assemblé à la salle polyvalente à 19h.
Étaient présents :
Jean-Claude
MESSAGER
Danièle VERMANDERE
Alexandre
SCHNEIDER
Véronique
SIBILE
Jean-Michel
RAVIART
Dominique
TREHOU
Hermine
DELESALLE
Patrick
DUSSART
Nadège
TANIERE
Jean-Pierre
FLOQUET
Anne-Marie
DELHAISE
Henri-Jean
LISSE
Coralie
DAELDYCK
Emmanuel
TIRLEMONT
Marie
POLLET
François
MARTIN
Jean-Pierre
HUEZ
Eliane
RENAUD
Sébastien
DRAPPIER
Isabelle
DECOBECQ
Laurence
BAISIER
Étaient
absents :
Hervé
WARGNYE, procuration donnée à Danièle VERMANDERE
Sandrine
CAILLEAU, procuration donnée à Jean-Pierre FLOQUET
Début de séance 19h03
1 – Approbation du procès-verbal du conseil municipal du 9 juin 2023
Le procès-verbal de la dernière séance du conseil municipal doit être approuvé par l'assemblée.
Voté à l'unanimité (23 voix Pour).
2 – Demandes de subventions
Une demande d'aide financière a été effectuée par une lycéenne de Lecelles. Celle-ci est sélectionnée dans l'équipe de France d'athlétisme pour les Championnats Internationaux Sportifs de l'éducation catholique. Cette aide lui permettra de faire face à ses différents frais (déplacements, hébergements, alimentation, …).
Par ailleurs, l'école du Centre nous a demandé une participation pour l'acquisition de bancs en matières entièrement recyclées dans le cadre d'une démarche de développement durable.
Pour la lycéenne
Monsieur
le maire : C'est une personne qui est venue me voir il y a déjà
pas mal de temps mais on n'a pas pu passer en délibération la
dernière fois. Elle part dans un championnat avec d'autres
personnes, elle est lecelloise, elle m'a demandé si elle pouvait
avoir une subvention exceptionnelle pour pouvoir pallier à tous les
frais. Ce sont des frais qui sont globalement autour de 6000 euros.
Il y a pas mal d'institutions qui l'aident, il y a le secours
catholique qui lui donne un coup de main. On pourrait proposer une
somme de 250 euros. Ce n'est pas une somme énorme mais c'est juste
pour marquer le coup et donner un coup de main à une lecelloise,
surtout que c'est l'équipe de France d'athlétisme et ce sont des
championnats internationaux.
Sébastien
Drappier : On a toujours abondé le sport en club ici sur la commune,
c'est traditionnel et ça se fait un peu partout. Là, c'est une
compétition certes mais c'est du sport individuel. Vous n'avez pas
peur que c'est la porte ouverte à tout. Parce que chacun fait du
sport en compétition ou autre, ça va créer un appel à don. Moi
même j'ai fait du sport pendant longtemps en championnat et jamais
ça m'a effleuré l'idée de demander de l'argent à la commune ou à
qui que ce soit.
Monsieur
le maire : c'est une personne qui n'a pas beaucoup de moyens,
c'est pour ça qu'elle est venue me voir. Ce n'est pas une somme
importante.
François
Martin : On n'est pas sur une compétition du coin, c'est
quelqu'un qui s'est qualifiée pour les championnats internationaux,
qui va représenter la France dans le cadre du sport catholique. Ça
demande des frais de déplacements, des frais d'hébergement, ce
n'est pas pour faire un championnat à 200 bornes en voiture.
Jean-Michel
Raviart : la dernière fois qu'il y a eu une subvention comme
ça, c'était pour le tennis de table, pour un jeune et la subvention
avait été versée directement au club pour servir à payer
l'accompagnateur.
Isabelle
Décobecq : Si la personne est en difficulté, n'est-ce pas
plutôt au CCAS de l'aider ?
Monsieur
le maire : Non, elle n'est pas en difficulté. Ses parents
travaillent. C'est juste une demande car elle a besoin d'avoir
plusieurs subventions pour avoir un petit pécule pour pouvoir faire
ce championnat. Maintenant qu'elle l'ai ou qu'elle ne l'ai pas, elle
le fera ce championnat. Nous on propose 250 euros. Je vais passer à
la deuxième délibération et si celui qui ne veut pas voter et
s'abstenir, il n'y a pas de problème.
Pour les bancs
Monsieur
le maire : quand les petites sections avaient mis en place le
ramassage de crayons dans la commune, on s'était engagé s'ils
achetaient un banc, qu'on aurait acheté le deuxième banc si ils
nous demandaient une subvention. Au départ, ils pensaient avoir
beaucoup plus de crayons et avoir la totalité pour acheter les deux
bancs pour l'école. Ils nous font la demande pour avoir une
subvention pour ce deuxième banc à l'école du centre du côté des
petits. C'est une subvention de 550 euros pour l'achat en matière
recyclée.
Sébastien
Drappier : sur le banc, c'est vous le patron de l'école, est-ce
nécessaire, est-ce un caprice ? C'est à vous de juger.
Monsieur le
maire : ce n'est pas un caprice. Ce sont des bancs qui sont dans
la cour des petits où ils n'y a pas de bancs. C'est parce qu'ils
voulaient faire quelque chose avec l'écologie. C'est leur projet.
Par rapport à leur financement, ils ne pouvaient en acheter qu'un
seul. De toute façon ils l'ont achetés avant même si ils n'avaient
pas la subvention.
Marie Pollet :
Les soutenir aussi au niveau de la commune, ça pousse aussi à
s'engager dans d'autres projets pour l'année prochaine sur ce thème
là ou un autre.
Sébastien
Drappier : Donc là on vote sur les deux points.
Monsieur le
maire : oui sur les deux points mais on peut les voter séparés.
On vote
l'ensemble de la délibération. Si vous voulez voter séparé on
peut voter séparé.
Isabelle Décobecq : je vote
séparé.
Sébastien Drapier :
j'aimerai autant la voter séparée.
Monsieur le maire : séparé
Pour la première délibération, pour la subvention d'aide à la lycéenne de Lecelles
Voté : 20 voix pour, 3 contre (Sébastien Drappier, Isabelle Décobecq, Laurence Baisier)
Pour le banc
Voté à l'unanimité (23 voix Pour).
3 – Octroi d'une carte-cadeau aux parents de nouveau-né lecellois
Il est proposé au conseil municipal d'approuver l'octroi d'une carte cadeau aux parents de nouveau-nés de la commune.
Monsieur
le maire : en sachant que dans le temps il y avait un livret
jeune, on a des demandes régulièrement par des parents quand ils
déposent leur livret pour la déclaration de naissance qui
demande si
la mairie fait quelque chose. Ce
n'est pas d'aujourd'hui, ça fait très longtemps qu'on nous le
demande. On
a décidé d'écouter,
de
regarder et pourquoi pas de le mettre en place. On propose de mettre
50 euros par enfants,
par nouveau-nés.
Isabelle
Décobecq : En cas de naissance multiple ?
Monsieur
le maire : On n'y a pas pensé.
Isabelle
Décobecq : Mais il faut y penser, il y a parfois des jumeaux,
voire des triplés.
Isabelle
Décobecq : J'ai une autre question et vous n'y avez peut-être
pas pensé. En cas d'adoption ?
Dominique
Tréhou : Ce n'est pas des nouveau-nés.
Isabelle
Décobecq : J'ai adopté des enfants et je crois que ça coûte
encore plus cher qu'avoir une grossesse.
Monsieur
le maire : Ce n'est pas un problème dans la libération on peut
mettre nouveau-nés et adoption. Après il faut mettre un âge. On ne
peut pas non plus donné à 7-8 ans.
Isabelle
Décobecq : Quelles seront les conditions ? Il y aura une
réception, il faut faire un dossier ?
Monsieur
le maire : D'abord, il faut s'inscrire en mairie, après on fera
une réception en temps voulu.
Isabelle
Décobecq : Vous parlez de l'octroi d'une carte cadeau. Carte
cadeau sur les commerçants de Lecelles ?
Monsieur
le maire : Pour les enfants, je pense que c'est plus judicieux
de mettre une carte cadeau Leclerc, comme ça ils pourront acheter où
ils veulent que ce soit habits, …
Isabelle
Décobecq : Je pense qu'il y a suffisamment de quoi acheter dans
le village, même pour la famille, lors de l'arrivée d'un enfant :
à la pharmacie on trouve des produits pour le bébé, on a des
boutiques cadeaux, la maman a besoin de nourrir la famille.
Monsieur
le maire : vous allez mettre en place pour faciliter un commerce
ou l'autre, ça va être compliqué. Ça sera 50 euros en une seule
fois, je ne vais pas faire un titre de 3 euros pour la pharmacie, 5
euros pour la boulangerie, 8 euros pour la boucherie. Ce n'est pas
possible. Ça va être 50 euros. J'ai peur qu'il y est une dérive.
Isabelle
Décobecq : Quand vous avez fait le bon d'achat pendant le COVID
pour les aînés chez les commerçants, vous l'avez fait pour
plusieurs commerçants.
Monsieur
le maire : C'était différent, un bon c'était un seul
commerçant. C'était alimentaire. C'est plus compliqué à mettre en
place. Quand
une maman a des difficultés, même si on est quand même privilégié
sur les villages de l'amandinois, pour certains, elles auront plus
tendance à aller chercher des habits pour 50 euros où il y a plus
de choix. C'est le seul magasin qu'on n'a pas encore sur la commune.
Ça
viendra mais on ne l'a pas encore.
Isabelle
Décobecq : Le Leclerc ?
Monsieur
le maire : non, la puériculture.
Sébastien
Drappier : Quel est le but ? Les bacheliers ont
les a privilégiés. Là les
nouveau-nés. Où ça va s'arrêter ? Après
quand ils perdront une dent de lait ?
Monsieur
le maire : on verra. Peut-être.
Sébastien
Drappier : Je me suis un peu documenté, ça se fait dans
beaucoup de communes.
Marie
Pollet : Il y en a qui offre des cadeaux.
Emmanuel
Tirlemont : Quelle est ton arrière pensée ?
Sébastien
Drappier : Est
ce qu'il
n'y
a pas
du clientélisme derrière ?
Monsieur
le maire : Si on calcule il y aura 1000 euros, il y aura 20
familles.
Sébastien
Drappier : En France il y a déjà une politique familiale, elle
existe, il
n'y a pas besoin que les communes viennent s'immiscer là dedans en
plus. Tout ce qu'on va mettre dans la poche des uns, c'est qu'on l'a
pris dans la poche des autres.
Éliane
Renaud : Non.
François
Martin : Dans ce cas on arrête tout ce qui est cadeau aux
aînés, le repas.
Sébastien
Drappier : ça s'est toujours fait, c'est traditionnel. Après
qui sont les plus fidèles dans les urnes ? C'est quand même
les aînés. Tout ceux qui sont installés le savent.
Monsieur
le maire : on peut en discuter.
Alexandre
Schneider : Je suis content d'apporter ce genre d'aide aux
lecellois. Vous êtes contre.
Sébastien
Drappier : On ne pèse rien, on peut
voter
contre, on est 3, et vous irez proclamer partout que j'ai voté
contre.
Hermine
Delesalle : tu crois sincèrement qu'on a que ça à faire ;
Aller proclamer partout que tu as
dit non pour
50 balles, je ne pense pas. Maintenant
c'est pour les familles, je ne vois pas en quoi ça pose soucis,
ce n'est rien du tout.
Sébastien
Drappier : je dis que tout ce qu'on donne à l'un c'est qu'on
l'a pris à l'autre.
Éliane
Renaud : Pourquoi on ne serait pas heureux qu'il y ait des
nouveau-nés. C'est le cycle de la vie.
Sébastien
Drappier : si on part sur ce raisonnement, le but est de
favoriser la natalité dans la commune. On
est content qu'il y ait des nouveau-nés. Ça peut-être une vision.
Il
y a une politique familiale
qui existe pour ça. Vous
avez encore d'autres idées comme ça pour des cartes cadeaux ?
Monsieur
le maire : Vous
me tendez la perche, on va y réfléchir.
François
Martin : Au dernier conseil municipal, si je rassemble mes
souvenirs, où c'était celui d'avant, vous avez évoqué la taxe
foncière en disant 'ça va augmenter alors que le taux n'augmente
pas. » On avait fait les calculs ans fin et vous avez dit ça
serait bien de compenser le taux pour que ça n'augmente pas pour
la population. A la fin ça revenait à quoi ce que vous avez
proposé ? Ça revenait à donner 50 euros à chaque foyer qui
paie la taxe foncière. En sachant que ça revenait à donner plus à
ceux qui aie beaucoup de taxe foncière et moins à ceux qu en paie
moins. Nous on cible les personnes à des périodes de la vie où ils
ont besoin d'avoir une aide, vous le truc c'est je refuse à ceux qui
ont une grosse maison, une grosse taxe foncière et je prends un peu
moins à ceux qui ont une petite taxe foncière et je ne donne rien à
ceux qui habite à Lecelles et qui ne sont pas propriétaire. Ça
revenait à ça, le cadeau que vous vouliez faire. Je ne comprends
pas les remarques qui viennent derrière.
Sébastien
Drappier : Ça c'est une philosophie. Vous êtes dans un système
de répartition qui est bien connu ici sur l'amandinois, c'est le
communisme.
François
Martin : je ne pense pas que ce soit du communisme.
Sébastien
Drappier : il faut prendre un peu plus là car c'est une belle
maison et donner un peu plus
là . Moi ce n'est pas trop ma vision politique
François
Martin : Il
y a peut-être un juste milieu.
Sébastien
Drappier : Ce
n'est pas trop ma philosophie.
Éliane
Renaud : C'est un point d'équilibre entre les gens et avoir du
cœur. Je ne sais pas si ça se mêle avec la politique. C'est ni la
droite, ni la gauche, ni les extrêmes. Pour moi, je n'entends pas
ton discours. Je suis désolée. C'est un bébé c'est tout.
François
Martin : On
entend beaucoup les extrêmes, que ce soit les vôtres ou ceux d'en
face et qui en fait se rendent compte que la plupart de la population
n'allait pas de ce côté là. Les gens ne font pas de la politique.
Sébastien
Drappier : malheureusement.François
Martin : Il
y a suffisamment de personnes qui en font et en ce moment j'avoue ce
qu'on entend au niveau politique, les personnes qui en font ne le
font pas bien.
Éliane
Renaud : Quand
tu es devant les élèves, tu ne fais pas de politique. Tu
prends tous les élèves, ils sont tous pareil. Quelque soit leur
couleur de peau, leur direction. Je suis désolée, j'ai une vision
d'enseignant. Je suis très fière d'avoir passé ma carrière là
dedans. C'est l'humain avant tout. Je ne vois pas ce que la politique
vient faire là dedans.
Sébastien
Drappier : On est sur un autre terrain de la commune mais
je trouve dommage que les élections où il y plus que 32 % de
participation,
c'est pitoyable.
Voté : 20 voix pour, 2 contre (Sébastien Drappier, Isabelle Décobecq), 1 abstention (Laurence Baisier)
4 – Adoption de la nomenclature M 57 en comptabilité
A compter du 1er janvier 2024, la présentation du budget va légèrement changer. Le conseil municipal doit approuver ce changement de nomenclature comptable.
Olivier : Le budget était dans la nomenclature qui s'appelait M14, elle s'appelle maintenant M57, Il y a jusque quelques modifications sur les codes des articles, quelques articles sont regroupés,
Isabelle
Décobecq : Allez-vous appliquer le référentiel M57 simplifié
destiné aux collectivités
de moins de 3 500 habitants ?
Olivier :
oui
Isabelle
Décobecq : Lors de l'approbation du budget en mars prochain,
voterons nous le bilan du budget 2023 en nomenclature M14 ou M57 ?
Olivier :
Il sera voté en nomenclature M14, le nouveau sera en M57. Il n'a pas
énormément de changement.
Isabelle
Décobecq : J'ai vu, je me suis renseignée. Même si il n'a a pas
beaucoup de changements, si on a voté le M14 cette année
prévisionnel et qu'après il faille voter
le bilan en M57, on ne va pas retrouver tous nos petits.
Olivier :
il n'y a pas
de gros changements.
Isabelle
Décobecq : Pour certains lignes, il y a des scissions ou des
regroupements.
Voté à l'unanimité (23 voix Pour).
5 – Signature d'une convention avec ENEDIS
ENEDIS demande à la mairie de signer une convention de servitude pour remplacer le transformateur situé sur la parcelle C1643 (derrière la halle). Cette convention doit être validée par le conseil municipal.
Voté à l'unanimité (23 voix Pour).
6 – Signature d'une convention avec GRDF
GRDF demande la constitution d'une servitude sur la parcelle AB172, appartenant à la commune et qui constitue l'accès au Clos des Lys. Le conseil municipal doit valider la constitution de cette servitude.
Voté à l'unanimité (23 voix Pour).
Questions diverses
Monsieur le maire : j'ai une question de monsieur Drappier, madame Décobecq et madame Baisier.
Voici une de nos questions diverses pour le prochain Conseil Municipal afin que vous puissiez avoir les éléments pour y répondre : Où en est-on avec le pacte de gouvernance et de solidarité pour lequel nous avons donné un avis en septembre 2021 ?
Réponse :
le bilan à mi-mandat sera présenté au conseil communautaire le 11
septembre lors d'un bureau.
Les
indicateurs ont été présentés le 4 juillet au dernier conseil
communautaire. Le lien du document a été distribué aux membres du
conseil pour
téléchargement.
https://caphbox.cloudyourax.fr/t/0hx36u4m
Une synthèse sur
les différentes instances sur les trois dernières années a été
lue ainsi que le reste à faire sur le sujet.
Question d'Isabelle
Décobecq : Vous parlez de retransmission des conseils
communautaires mais le dernier n'a pas été retransmis. Le lien
n'était ni dans la convocation, ni sur le site de la CAPH.
Monsieur le maire :
j'en ferai part.
Sébastien
Drappier : Est-ce que ça été filmé ?
Monsieur le maire : Le dernier conseil communautaire n'a pas été filmé.
Question de Laurence
Baisier : Concernant le parc,
depuis le 23 mai, on n'a pas de communication. Il se passe des choses
sur le site et je ne suis pas informée.
Monsieur le maire :
à la dernière réunion vous étiez présente pour décider
l'emplacement et l'achat du mobilier. Vous étiez présente.
Laurence Baisier :
Oui au mois d'avril. L'ouverture du site est toujours prévue
mi-septembre ?
Emmanuel Tirlemont :
On avait parlé d'une ouverture à l'automne.
Laurence Baisier :
On avait dit mi-septembre.
Monsieur le maire :
Au départ on avait dit mi-septembre et ça sera certainement reculé
le temps que le skatepark arrive et qu'on puisse remettre en état
comme il faut car le terrain est un peu abîmé, il faut une pelouse
adaptée.
Laurence Baisier :
Comment ça va se passer ?
Monsieur le maire :
on fera une inauguration avec le conseil municipal.
Alexandre
Schneider : le calendrier est respecté.
Laurence Baisier :
C'est à dire ?
Alexandre
Schneider : On avait prévu pour l'automne.
Laurence Baisier :
L'automne j'ignorai, pour moi c'était le 15 septembre, je n'ai pas
d'autre date sur mes compte-rendus.
Monsieur le maire :
Mais là 15 jours ça ne sera pas possible le temps de monter le
skatepark et qu'on finisse de nettoyer, de tondre.
Laurence Baisier :
Et pourquoi ça prend du retard le skatepark ?
Laurence
Baisier : Et le chantier de madame Devresse ?
Monsieur
le maire : Elle gère elle même. Elle prépare tout doucement.
Elle gère sa parcelle.
Monsieur le
maire : je vais vous parler des travaux sur la commune. On a
lancé l'appel d'offre pour les trottoirs de la rue des fèves et la
rue neuve. L'appel d'offre se termine vendredi. Le bureau d'étude va
analyser puis j'espère pouvoir commencer avant fin octobre.
Sur la salle des fêtes, on avait fait beaucoup de demandes de subventions. Il faut aller voir les gens, taper aux bonnes portes. On a 522 630 euros de subventions. C'est la 1e fois qu'on a 80 % de subventions sur un projet pareil.
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89 689€ de dotation de ruralité de la CAPH
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179 466€ de fonds verts
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112 166€ de la région
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141 309€ du département
On a mandaté un bureau d'études pour voir comment on va avancer. J'ai une réunion avec les associations pour leur expliquer : on va devoir restreindre et fermer la salle des fêtes à partir du mois de mai l'année prochaine pour 4 mois, j'espère maximum.
Dernier point les ZECs de Lecelles et Rumegies. Le chantier démarre le 4 Septembre : 2 bassins de 25 000 m3. On est sur 1 359 000€ de travaux, on est allé chercher en subventions :
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176 000€ à l'agence de l'eau
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135 970€ fonds verts
-
271 950€ région
-
Il reste le FEDER
Les agriculteurs vont faire du transport.
On a eu une subvention de 13-14 000€ du fonds verts pour terminer l'éclairage public.
Jean-Michel Raviart : le samedi 30 septembre de 9h00 à midi village propre. On demande à tous les conseillers municipaux pour prendre un secteur. C'est coordonné par Nadège et moi.
La séance est levée à 19h47
Vous pouvez télécharger le compte-rendu sous format pdf
