COMPTE RENDU DE RÉUNION DE CONSEIL MUNICIPAL

Séance ordinaire du 1er mars 2022

(Convocations du 21 février 2022)

Le Conseil Municipal de la Commune de Lecelles, légalement convoqué s'est assemblé à la salle polyvalente à 19 heures.

Étaient présents :

Jean-Claude MESSAGER
Danièle VERMANDERE
Alexandre SCHNEIDER
Véronique SIBILE
Jean-Michel RAVIART
Dominique TREHOU
Hervé WARGNYE
Hermine DELESALLE arrivée pendant les questions diverses
Nadège TANIERE arrivée au point 4
Jean-Pierre FLOQUET
Henri-Jean LISSE

Coralie DAELDYCK
Emmanuel TIRLEMONT
Marie POLLET
François MARTIN
Sandrine CAILLEAU
Jean-Pierre HUEZ
Éliane RENAUD
Sébastien DRAPPIER
Isabelle DECOBECQ
Laurence BAISIER

Étaient absents :

Patrick DUSSART procuration donnée à Éliane RENAUD
Anne-Marie DELHAISE procuration donnée à Véronique SIBILE

Début de séance 19:06

1 - Temps de travail des agents publics

La loi du 6 août 2019 de la Transformation de la fonction publique territoriale impose aux collectivités locales de délibérer pour instaurer le décompte du temps de travail sur la base de 1607 heures par an. La commune doit donc s'engager à ce que les agents à temps plein travaillent 1607 heures par an et que le décompte des agents à temps partiel se fait sur la base de ce nombre d'heures aussi.

C'est juste une délibération à passer dans la mesure où elle a déjà été mise en place. C'est la préfecture qui nous demande cette délibération.

Isabelle Décobecq : J'ai juste une question de clarification : comment vous vérifiez que les heures sont faites ou non faites ? Il y a du badgeage ?
Réponde d'Olivier : Il y a un planning horaire sur la semaine, base de 7h45 par jour.

Voté à l'unanimité (21 voix Pour)


2 - Autorisation de recruter des agents contractuels

Afin de pallier une éventuelle absence d'un agent ou à un accroissement d'activité, le conseil doit autoriser le Maire à recruter des agents contractuels de manière temporaire.

On l'a déjà fait, c'est une délibération qui sera prise pour le mandat. Nous avons toujours des demandes pour remplacer du personnel de manière spontanée quand on en trouve car c'est très compliqué, c'est pour des petits horaires.

Isabelle Décobecq : Juste des questions de précision : Il va y avoir un surcoût, c'est prévu au budget 2022 ?
Monsieur le maire : il y a toujours une marge prévue, le coût n'est pas forcément énorme.
Isabelle Décobecq : vous connaissez votre taux d'absentéisme ?
Monsieur le maire : On n'en a pratiquement pas sauf en période actuelle où on a eu beaucoup de malades.

Voté à l'unanimité (21 voix Pour)

3 - Recours au bénévolat

La commune peut faire appel au bénévolat dans certains cas de figure et il arrive que des propositions de bénévolat soit faites en mairie pour certaines activités. Avant de pouvoir signer une convention de bénévolat avec les intervenants, il est nécessaire que cette procédure soit validée par le conseil municipal.

C'est pour le mandat, ça nous arrive d'avoir des demandes mais malheureusement on ne peut pas les prendre tant qu'on n'a pas une convention. Il faut qu'on se mette à l'abri et qu'on mette à l'abri ces gens-là. Ils sont obligés d'avoir une assurance. Je suis obligé de le passer en délibération.

Isabelle Décobecq : Juste des questions de clarification. Quels types de demandes de bénévolat sont faites en mairie ? Je connais juste les demandes de bénévolat pour nettoyer le cimetière, j'ai déjà vu dans la presse.
Monsieur le maire : c'est du bénévolat qu'on peut avoir par exemple dans les écoles. Ce sont des jeunes qui demandent du bénévolat de temps en temps. On n'en a pas énormément. Mais on a eu deux fois en suivant des jeunes sans travail qui demandaient de donner un petit coup de main à l'école de manière bénévole. Jusqu'à maintenant on ne peut pas les prendre, il faut l'autorisation du conseil municipal, tout au moins à la majorité.
Isabelle Décobecq : Pourtant il y a eu du bénévolat pour le cimetière l'année dernière et l'année d'avant alors qu'on n'avait pas voté.
Monsieur le maire : oui mais le bénévolat au cimetière, c'est différent dans la mesure où s'est en extérieur, ce n'est pas pareil.
François Martin : N'importe qui vient, il peut participer au nettoyage du cimetière. N'importe qui vient, il ne peut pas rentrer dans l'école.
Monsieur le maire : ce n'est pas la même législation.
Isabelle Décobecq : Comme ce n'était pas précisé
Monsieur le maire : oui, mais on ne va pas tout vous préciser.
Isabelle Décobecq : C'est juste des questions de clarification.
Monsieur le maire : pour nous et pour moi c'est clair. C'est du bénévolat dans le cadre essentiellement des écoles ou éventuellement avec les services techniques, avec les employés de la commune Le bénévolat au cimetière c'était avec des agents de la commune mais surtout fait avec des gens du conseil municipal. C'est trois personnes.

Voté à l'unanimité (21 voix Pour)

4 - Délégué à la Protection des Données - Convention de mutualisation entre la CAPH, les communes et le Centre de Gestion

En 2018, une délibération avait été prise pour autoriser la signature d'une convention entre la commune, la CAPH et le Centre de Gestion du Nord. Le but de cette convention était de mutualiser la procédure de mise en application du Règlement Général de Protection des données (RGPD). Le RGPD impose la désignation d'un délégué à la protection des données dans les organismes publics. Le but du RGPD est de protéger les données informatiques à caractère personnel qui peuvent être détenues par la commune. La convention initiale était de 3 ans et arrive à son terme et il est nécessaire de la renouveler.

Voté à l'unanimité (22 voix Pour)

5 - CAPH - Participation financière pour l'achat d'un défibrillateur

La réglementation oblige les établissements recevant du public à s'équiper de défibrillateur et à veiller à la mise en œuvre de la maintenance de ces éléments. La Porte du Hainaut a proposé à ses communes membres de procéder à un achat groupé de défibrillateurs avec maintenance et formation. A ce titre, la Porte du Hainaut souhaite participer financièrement à l'acquisition de ces équipements à hauteur d'un défibrillateur (hors armoire, installation et maintenance), et il revient au conseil municipal d'approuver cette mesure.

Isabelle Décobecq : Il y a une incohérence pour moi. On lit dans la 2e phrase que la CAPH va procéder à un achat groupé de défibrillateurs avec maintenance et formation et dans la dernière (hors armoire, installation et maintenance). Il y a maintenance ou pas maintenance ?
François Martin : Il y a achat groupé qui doit tout prendre en compte Par contre, la porte du Hainaut participe financièrement à l'acquisition de l'équipement. C'est-à-dire qu'elle aide à regrouper pour toutes les communes en faisant un achat groupé et en plus derrière il y a l'aide pour un défibrillateur. S'il y en a plusieurs, on paye les autres au tarif de l'achat groupé.
Sébastien Drappier : Les défibrillateurs qu'on a actuellement sont d'origine ou ils ont déjà été remplacés ?
Monsieur le maire : on a remplacé le matériel intérieur : batterie, électrodes. Sur celui de la mairie, on nous a volé ce qu'il y avait à l'intérieur.
On en a un à la mairie, un à la salle de sport, un à la poste. On va changer les trois car ils ont beaucoup d'âge. On remettra certainement aux mêmes endroits, mais il pourrait y avoir de petites modifications. On verra en temps utile quand on les recevra.

Voté à l'unanimité (22 voix Pour)


6 - Tarif des cavurnes

Les cavurnes sont des petits caveaux destinés à recevoir des urnes funéraires au cimetière. Suite à plusieurs demandes de Lecellois, nous envisageons d'en installer au cimetière. Il faut que le conseil municipal fixe le prix et la durée des concessions de ces cavurnes.

On a regardé les tarifs qui se faisaient aux alentours, pas dans les grandes villes car c'est très onéreux. On partirait sur la même tarification que les colombariums : 10 ans pour 273 euros et 30 ans 546 euros. Tarif actuel et qu'on reverra à la commission de finances et au budget d'ici fin mars. Ce qui ne veut pas dire qu'on va augmenter.

La règlementation fait qu'on n'a pas à refuser des cavurnes si on a de la demande. Ce sont des cavurnes qui font 60 sur 60 avec 50 cm de profondeur.

Isabelle Décobecq : ce que je ne comprends pas, c'est qu'on a voté le 15 novembre dernier un tarif. On avait voté un tarif pour 50 ans de 63 euros pour un mètre carré.
Monsieur le maire : on va regarder.
Alexandre Schneider : tu es sure du montant ?
Isabelle Décobecq : Oui. je vais lire l'extrait de notre compte rendu :
« Suite à plusieurs demandes, il est proposé au conseil municipal de créer un tarif pour des concessions de cavurnes au cimetière. ...On propose un seul tarif de 50 ans pour 63 euros, emplacement d'un m². »Monsieur le maire : Il y a une erreur. On va regarder et on va annuler ce point ce soir. On reviendra vers vous la prochaine fois.


7 - Création d'un conseil municipal des jeunes

Le Code des Collectivités territoriales donne la possibilité aux conseils municipaux de créer des comités consultatifs. Dans ce cadre, nous avons décidé de créer un Conseil Municipal des jeunes. Cela concerne les enfants qui habitent Lecelles, de 9 à 12 ans qui pourraient avoir des idées ou des projets pour la commune. Le conseil municipal doit valider l'instauration de ce conseil municipal des jeunes.

Je vais laisser la parole à François.

François Martin : Pour préciser, de 9 à 12 ans, on s'est plus arrêté sur des classes de CM1, CM2 et 6e. Un appel aux enfants a été fait fin d'année dernière. On a eu des candidatures, on a eu moins de candidatures que la taille envisagée du conseil municipal. On a communiqué à tous ces jeunes, ils sont 8, qu'ils faisaient facto partie du conseil, proposer de bonnes idées.

Malheureusement on n'a pas encore pu les réunir parce que les conditions de rassemblement des enfants de l'éducation nationale nous empêche de mélanger les enfants de différents établissements scolaires et différentes classes au même endroit. On a respecté cet élément pour ne pas mettre par terre le travail qui est fait dans les écoles. Avec la levée des restrictions, le but est de les voir une fois avant les prochaines vacances, voire deux fois. Il faut qu'on définisse une date et on va commencer à travailler avec eux sur cette année 2022.

Sébastien Drappier : vous envisagez quelle fréquence ?
François : aujourd'hui c'est au moins une rencontre sur une période inter vacances et en fonction des idées qui sortent mettre en place des petits groupes de travail. Une espèce de commission pour travailler sur ces sujets en petits groupe ou avec tout le monde, ça dépendra des idées et des projets qui vont être mis en place.
Sébastien : pour combien de temps ils sont mis en place ?
François : Aujourd'hui on était parti sur une année civile de façon à être à cheval sur deux années scolaires et pas être calqué sur l'année scolaire et ne pas perdre les vacances d'été. Vu qu'on démarre plus tard, il faut voir si on prolonge, si on prolonge une partie, si on fait un renouvellement par moitié, il y a encore plein de possibilités, ça fait partie des choses qu'on va pouvoir échanger avec eux, avoir le ressenti des enfants. Le but le faire avec eux et pour eux. On ne va pas décider pour eux, on va échanger, leur expliquer. Il y a peut-être plein de bonnes idées. Aujourd'hui on n'est pas arrêté sur des choses. Le but est d'être à l'écoute des propositions et de les prendre en compte. Il y aura plein de bonnes idées.
Emmanuel Tirlemont : Pourra-t-on les inviter à notre conseil ?
François : c'est envisagé. Pas forcément à 19 heures. Ponctuellement ça pourrait être intéressant.
Sébastien : surtout s'il y a un point qui les concerne, par exemple un vote sur les écoles.
François : ils ne pourront pas voter. Le but de ce conseil municipal est d'être force de proposition sur des projets. S'il y a des projets qui demandent derrière une délibération ça va amener des points à délibérer en conseil municipal.
Sébastien : je rejoins Emmanuel, les inviter si quelque chose les concerne dans ce conseil municipal
François : et qu'ils voient comment fonctionne un conseil municipal. Mais on ne va pas leur imposer l'intégralité d'un conseil.
On n'a pas mis toute l'organisation en place car on ne les a pas tous rencontrer.
Le but est de les faire participer à la vie de la commune, aux différentes cérémonies, aux différents évènements.

Voté à l'unanimité (22 voix Pour)

Les deux points suivants ont déjà fait l'objet de délibération en 2021 mais les accusés de réception électroniques de la préfecture n'ont jamais été reçus en mairie, et il faut donc délibérer à nouveau sur ces sujets.

8 - Autorisation d'engagement des dépenses d'investissement préalablement le vote du budget 2021

En application de l'article L.1612-1 du Code Général des Collectivités Territoriales, le conseil municipal a la possibilité d'autoriser l'exécutif à mandater les dépenses d'investissement à hauteur d'un quart des crédits ouvert au budget précédent. Afin de poursuivre la réalisation des projets communaux, en début d'année 2022 et jusqu'au vote du prochain budget, il est donc demandé au conseil municipal d'autoriser M. le Maire à engager des dépenses à hauteur de 49 250€ pour le chapitre 21 (immobilisation corporelles) et 410 000€ pour le chapitre 23 (immobilisations en cours).

Voté à l'unanimité (22 voix Pour)

9 - Demande de subvention Villages et Bourgs - Voirie

Le département du Nord a mis en place une subvention afin de participer au financement d'une partie des travaux de réfection des voiries communales. La subvention maximale est de 75 000€. Le conseil municipal doit approuver cette demande de financement en prévision des travaux sur les rues Davaine et Bouchart et résidence Davaine.

Isabelle Décobecq : j'ai juste une remarque, il n'est pas trop tard pour la subvention ou elle est déjà faite ?
Monsieur le maire : la subvention est déjà faite. C'est juste une remise à jour par rapport au courrier électronique.
Isabelle : les autres courriers électroniques du 15 novembre ont été reçus ?
Monsieur le maire : oui.


Voté à l'unanimité (22 voix Pour)


Questions diverses

Laurence Baisier : Concernant les travaux de la rue Bouchart, comme nous n'avons pas assisté aux réunions de travaux, on aimerait avoir un peu plus d'explications sur le nombre d'entreprises qui ont postulés, celle qui a été choisie, pour quelles raisons et le retard de deux mois, s'il y a eu des problèmes. Si vous pouvez nous exposer tout ça. On n'est pas informé.
Monsieur le maire : il y a eu un peu de retard, c'est l'administratif avec le bureau d'études Verdi mais on n'est pas si en retard que ça. C'est une cotraitance avec deux entreprises qui ont répondu ensemble. On a même été étonné mais je pense que beaucoup d'entreprises ont énormément de travail dans le TP et comme dans tout le bâtiment. D'habitude on a beaucoup plus de réponses que ça et là on a eu que deux réponses.
Laurence : on peut avoir les noms.
Hervé Wargnies : C'est TCL et TPRM.
Monsieur le maire : en cotraitance à 50%.
Hervé : ce sont des entreprises régionales. Posez des questions on tachera d'y répondre. Je ne sais pas ce que vous attendez.
Laurence : En fait nous n'avons pas été informé du tout. Quand il y a eu la réunion publique ...
Monsieur le maire : ceux qui ont été informé, ce sont les gens de la rue, les riverains. Ça fait partie de la compétence d'un adjoint aux travaux de s'occuper de ses travaux.
Laurence : Oui et nous en tant que conseillers on ne peut pas être informé. On s'informe auprès des riverains justement, ils en savent plus que nous.
Monsieur le maire : on vous informe. La dernière fois on vous a dit que les travaux allaient bientôt commencer. Là c'est le démarrage des travaux. Si vous voulez venir faire le tour du chantier, venez faire le tour des chantiers, comme les riverains font le week-end. Ce n'est pas gênant. Là c'est en travaux, on n'a pas plus d'information que vous par rapport aux travaux.
Hervé : les réunions qui ont été organisées, c'étaient avec les riverains. Aujourd'hui au travers du conseil municipal on peut vous apporter toutes les communications nécessaires. Que dire sur la rue bouchart, l'ensemble des travaux consiste en la réfection totale de la voirie et de ses trottoirs, ainsi que des aménagements routiers. Il faut savoir que c'est une chaussée drainante.
Sébastien : on l'a lu dans la presse. Merci monsieur Cornée.
Hervé : La deuxième phase sur la rue Davaine va rentrer en travaux à partir du 21 mars. Ça va s'échelonner sur 10 à 12 semaines de travaux sauf problème, on verra quand on commencera le plus gros des travaux. Même principe que sur la rue Bouchart la chaussée et les trottoirs.
Laurence : l'assainissement ?
Hervé : On ne touche pas à l'assainissement sauf si lorsqu'ils vont commencer à gratter la chaussée, s'ils découvrent un problème d'assainissement, dans ce cas-là on se retournera vers Noreade, ou EDF GDF concernant le gaz qui viendra faire les réparations éventuellement. En aucun cas il y a réfection de l'assainissement, ce n'est pas prévu. C'est de la compétence de Noréade.
Monsieur le maire : l'assainissement on n'y touche pas s'il est en bon état. Ça peut tourner facilement un siècle. Il n'y a pas de souci tout au moins sur la rue Bouchart. Les chaussée réservoirs sont mises en place. Il n'y a pas de problème pour l'instant. On verra à la suite
Sébastien Drappier : Je pense que Laurence vous reproche c'est qu'il n'y a pas eu de commissions travaux.
Monsieur le maire : il n'y a pas de commission travaux. On a un appel d'offre, on a un bureau d'étude, c'est le bureau d'étude qui gère. On n'a pas de commission travaux avec le bureau d'étude.
Sébastien : il y a quand même un mécontentement qui a été exprimé par courrier, ils m'ont contacté « nous avons fait un courrier à monsieur le maire, on n'a pas eu de réponse concrète ».
Monsieur le maire : de quoi vous parler ?
Sébastien : d'un courrier des riverains sur la problématique de stationnement, les noues apparemment ça les dérange un peu, les chicanes. Si on ne sait pas, je dis « Je ne sais pas », je passe un peu pour une 'bêbête', ce n'est pas trop grave.
Monsieur le maire : vous pouvez passer en mairie pour demander des renseignements. Rien ne vous en empêche. Vous faites partie du conseil municipal, vous avez une question à poser, vous venez en mairie et vous la demandée. Les personnes en général du conseil municipal quand ils ont besoin de demander quelque chose, hormis les adjoints qui sont beaucoup plus présents et ça on le conçoit, viennent en mairie et demandent. Vous posez vos questions on va vous donner des réponses. Ce n'est pas un problème. On ne va pas vous rendre compte de tout ce qui se fait dans une mairie.
Les travaux sont gérés avec l'adjoint aux travaux, moi-même quand je suis disponible et après c'est le bureau d'études Verdi qui a été mandaté qui gère ces travaux. On ne va pas faire une commission de travaux avec Verdi sur des choses, c'est leur travail. On les paie pour ça. Je ne vois pas ce qu'on pourrait mettre en place. Si vous voulez venir à une réunion de chantier, il n'y pas aucun souci. On a un bureau d'étude qui ont les compétences.
Hervé : après concernant les demandes des riverains, on les a écouté, on leur a apporté un début de réponse et ce qui est certain c'est qu'aujourd'hui on ne peut pas répondre positivement à toutes leurs demandes. Exemple : chaque riverain aimerait avoir 4-5 places de stationnement devant chez lui, chose qui n'est pas possible. On leur a expliqué que dans le linéaire il va y avoir des noues, des places de stationnement. Aujourd'hui les noues font partie des choses obligatoires si on veut avoir recours aux subventions.
Sébastien : on l'ignore complètement Si on nous l'avait expliqué, j'aurai été dans votre sens.
Monsieur le maire : venez le demander on vous le donnera
Hervé : en conseil municipal, vous m'auriez interpellé je vous aurais dit on peut se prendre une demi-journée, une heure ou deux on vous aurait montré les plans.
Monsieur le maire : on a aussi l'obligation avec les trottoirs PMR d'avoir 1,40 mètre et vous savez quand même que les rues sont assez étroites à beaucoup d'endroit et il faut qu'on puisse bien gérer. C'est le travail du bureau d'études de trouver la solution. Et quand vous avez un trottoir PMR, il faut aussi pouvoir absorber les eaux de la parcelle, c'est une obligation et c'est dans le cahier des charges. Vous avez des chaussées réservoir pour absorber aussi ces eaux. On a plus de 9000 m² d'absorption d'eau dans ces chaussées réservoir. Ça évitera des inondations car l'eau avance un peu à chaque inondation sur la rue Davaine. Tout ça c'est technique, je n'ai pas la compétence, croyez-moi. C'est pour ça qu'on a un bureau d'étude pour calculer ce qu'on peut faire et ce qu'on ne peut pas faire.
Les travaux se passent bien, il n'y a aucun souci pour l'instant. Mais comme disait Hervé, on ne peut pas répondre à chaque administré à mettre 2, 3 ou 4 places, surtout que vous pourrez repartir ce soir, vous verrez il n'y a pratiquement pas de voiture dans les rues, les gens rentrent leur voiture chez eux pour ne pas se les faire piquer, c'est déjà une chose. En plus de ça on a beaucoup de personnes qui sont d'un certain âge, ils ne sont plus que deux chez eux, voire une personne. Où le bât blesse un petit peu, comme partout et pour nous tous, c'est quand on a les enfants ou petits-enfants qui viennent nous voir le dimanche. Ce n'est pas un souci pour moi, il faut se garer plus loin et marcher un peu. C'est ce qu'on leur a expliqué ce matin. On a fait une réunion de concertation avec les riverains et ça s'est très bien passé, on n'a pas de souci.
Isabelle Décobecq : Il y avait beaucoup de monde ce matin car ce n'est pas simple pour les gens qui travaillent de venir à une réunion dans la matinée.
Monsieur le maire : ce n'est pas simple mais on est obligé de faire par rapport au chef de chantier présent. Il est déjà là toute la journée, il ne peut pas forcément être là forcément le soir. C'était prévu comme ça et oui on avait une bonne trentaine de personnes, 30-40 familles. En amont, j'ai quand même des gens qui viennent me voir, donc il n'y a pas de problème. Il ne faut pas penser qu'on peut faire uniquement tout, toujours, tout le soir. Quand on fait des choses en semaine on le fait le matin car ça arrange pas mal de personne.
Sandrine Cailleau : C'est quoi les noues ?
Hervé : Les noues sont des petits fossés entre 50 et 60 cm de profondeur sur une largeur de 1,3 à 1,5m.
Monsieur le maire : ça rentre dans le cahier des charges pour absorber les eaux, pour attendre que l'eau puisse descendre tout doucement plutôt que partir directement dans les eaux usées ou non usées et qui surchargent les stations d'épuration.
Hervé : c'est ce qu'on trouve au niveau de la place des anciens combattants, entre le parking et l'église.
Concernant les infrastructures de sécurité routière, pour l'instant rien n'est arrêté. On laisse finir les travaux et on reviendra vers les riverains pour savoir où éventuellement implanter s'il y a des chicanes, quel type de chicanes on mettra en place. Aujourd'hui rien n'est arrêté car certains riverains sont opposés et d'autres qui en veulent mais pas devant chez eux. C'est un peu compliqué.
Monsieur le maire : Par contre rue bouchart, ça été demandé fortement et ça n'impactera pas beaucoup étant donné qu'il y a des champs de chaque côté ; ça permettra de casser la vitesse.
Hervé : On leur a expliqué ce matin qu'avec une chaussée neuve, ça va rouler encore plus vite sans aménagement routier.

Sébastien : Les chicanes sont un sujet d'actualité. Tout le monde s'est ce qui s'est passé hier soir. Je pense qu'il faut vraiment avoir une réflexion sur ces chicanes. Je pense que c'est contreproductif en termes de sécurité. C'est malheureux ce qui s'est passé.
François Martin : Vous faite toujours les mêmes débats. Là-dessus je vais réagir. En fait vous incriminez les accidents de circulation aux chicanes. La chicane n'est pas responsable d'un accident de circulation. Au départ c'est de la vitesse et un non-respect de priorité, plus des circonstances aggravantes que l'enquête ne permet pas de dévoiler aujourd'hui. En aucun cas la chicane n'est responsable de l'accident ; A chaque fois c'est une erreur d'automobiliste. Aujourd'hui, je crois que les services de l'état, s'ils s'étaient rendu compte de la dangerosité des chicanes, il y a bien longtemps que la préfecture nous interdirait d'en mettre en place.
Monsieur le maire : il n'aurait pas signé les conventions de toute façon. C'est le département qui les a mis en place avec nous. Croyez-nous, ce n'est pas de gaité de cœur d'être sur un visuel comme ça pendant deux heures et demie, c'est très compliqué. Le problème, il y a au moins une personne qui roulait très très vite. Des meurtriers qui sont sur les routes, je n'en veux pas. C'est tout. Il n'y a pas de polémique. Sur les chicanes, il y a eu des petits accrochages mais il n'y a pas eu d'accident. Je regrette fortement et j'en suis bouleversé d'avoir eu un décès sur la commune par rapport à des criminels. C'est une problématique qu'on a dans toutes les communes. Prenez un abonnement à la Voix du Nord, vous verrez tous les jours il y a un ou deux morts, on a ça partout et c'est vraiment malheureux que souvent la personne qui décède est celle qui n'a rien demandé. Ça serait encore la personne qui a fait la connerie, qui se tue et qui met fin à sa vie, c'est triste mais elle l'a voulue. Mais là c'est carrément le contraire et c'est inadmissible. Croyez-moi je me suis entretenu longtemps avec le sous-préfet hier soir et on a bien discuté du problème mais on ne règlera pas le problème. Quand on a des idiots sur la route, des dangers publics qui se permettent des choses invraisemblables, qu'est-ce que vous pouvez faire contre ça ? Et malheureusement dans ce cas, c'est une voiture sans permis, si c'était une voiture normale, on n'en serait peut-être pas là. C'est une voiture sans permis, vous savez ce que c'est une voiture sans permis. Je n'ai pas d'autre mot à vous dire là-dessus, les chicanes vont leur travail, il y en a partout, ce n'est pas le problème. C'est un manque de pas de chance pour cette personne tuée et la deuxième personne gravement blessée.
Hervé Wargnies : Aujourd'hui, malheureusement il n'existe pas d'alternative aux chicanes. On ne peut pas mettre un feu rouge tous les 200 mètres.
Eliane Renaud. Rue Lasson, heureusement qu'il y a des chicanes. Quand je sors de chez moi, je me mets sur le trottoir, sur le côté et après je déboite. Comme les gens en face ils ont priorité, les chicanes les ralentissent mais les gens roulent de plus en plus vite et avec le COVID ça ne les a pas aidé, ils se croient maitre de la route. Heureusement qu'on a des chicanes sinon je ne sais pas ce qu'on ferait. Sincèrement.
Monsieur le maire : Quand on n'a pas encore des véhicules lourds qui passent carrément sur la chicane, qui écrase tout y compris les poteaux avec des photos à l'appui.
Hervé : certes parfois l'implantation peut être rediscutée mais l'effet bénéfique des chicanes, je ne pense pas qu'il y a matière à discussion. Aujourd'hui il n'y a rien d'autre comme alternative.
Sébastien : Je peux ajouter quelque chose. En matière d'automobile, je pense quand même m'y connaitre un petit peu. A partir du mois de juillet tout véhicule qui sera homologué au niveau européen, sera obligatoirement équipé d'un limitateur de vitesse actif. Avec une caméra, le véhicule passe devant le panneau 50, le véhicule n'ira pas au-delà de 50 km/h.
Hervé : C'est déconnectable.
Sébastien : Forcément si derrière vous avec le SAMU qui vous presse pour passer c'est déconnectable. Maintenant les gens ne vont pas à chaque fois déconnecté.
Hervé : la plupart des gens le déconnecterons. Je l'ai sur ma voiture, c'est déconnecté.
Sébastien : ce sera un système qui sera plus performant et qui va être obligatoire. A partir de 2024, chaque nouveau véhicule immatriculé en France ou en Europe sera équipé de ce système. Le problème de la vitesse va se régler sur les années qui viennent.
Hervé : parce que vous pensez qu'en 2024 le parc automobile sera changé.
Sébastien : bien sûr que non mais ça va relativement vite.
Hervé : ça va prendre des années et des années. Mais peut-être que dans 10 ou 20 ans, on sera dans cette problématique là et dans ce cas, oui il sera peut-être grand temps de démonter les infrastructures qui auront été mises en place.
Monsieur le maire : s'il n'y en a plus besoin, bien sûr.
Sébastien : j'ai travaillé un moment à Carvin, je traversai tous les villages, je devais être à 40 chicanes, 40 dos d'âne, mais c'est infernal.
François Martin : c'est infernal mais ça protège les habitants. On veut être protégé devant chez nous, ce n'est pas pour rouler comme un taré chez les autres. Franchement proposer le problème des chicanes après l'accident qui a eu lieu hier soir, je trouve ce comportement abject. Vous pouvez l'enregistrer, vous le mettrez dans votre compte rendu. C'est abject de revenir sur ce débat après ce qui s'est passé hier. C'est à cause de la chicane, c'est ça que vous expliquez depuis tout à l'heure. Ça me rend fou.
Sébastien : A un moment donné vous êtes sur une voie, il y a celui qui vient en face, vous devez vous déporter ...
François : On attend, chacun son tour, il y a un code de la route, merde, il y a des panneaux. Je vous apprends le code de la route non. Vous avez l'air de connaître l'automobile
Sébastien : je vais vous dire autre chose. Regardez les chiffres d'accidentologie. Depuis 2014, ça a augmenté de 100%.
François : c'est parce qu'on a mis les chicanes. Et voilà, ce sont les chicanes.
Jean-Pierre Floquet : les chiffres des accidents de la route, je suis désolé il faut aller beaucoup plus loin que ça. Ce sont les accidents de la vitesse qui ont fait que. Ce n'est pas les chicanes c'est la vitesse. C'est la première cause de mortalité en France. Regardez vos chiffres, vous verrez. Donc il faut préciser pourquoi il y a autant d'accident.
Eliane : et encore en France quand vous respecter les vitesses, bientôt on va vous rentrer dans l'arrière de la voiture. Je suis désolée mais c'est comme ça. Il faut être lucide quand même.
Hervé : Vous verrez bien quand le rapport de police sera rendu public, vous verrez que la chicane n'était pas du tout responsable de l'accident et que cette voiture aurait pu envoler un cycliste un peu plus loin ou un piéton.
François : quelques centaines de mètres plus loin, il y a trois ans il y a eu deux mors et il n'y avait pas de chicanes.
Sébastien : le gars roulait bien trop vite. Il arrive à 150 dans un virage.
François : qu'est-ce qu'on en sait que c'est la chicane et que ce n'est pas quelqu'un qui a roulé trop vite.
Sébastien : des tarés, vous l'avez tous dit, des gens qui boivent, des gens qui se droguent. Il y en a partout malheureusement.
Hervé : Les chicanes ne sont pas fait pour ces gens-là. Elles sont faites pour faire ralentir les gens, pour respecter le code de la route. Parce que tout le monde est stressé, en retard, on a tous beaucoup de chose à faire, c'est des survitesses de façon non responsable.
Eliane : s'ils sont responsables. Quand on détruit la vie d'autrui c'est important. Désolée, c'est chacun dans son cerveau.
Hervé : quand on est amené à rouler plus vite sur la route parce qu'on est en retard, c'est...
Eliane : on part avant
Hervé : oui mais les voitures sont puissantes, aujourd'hui c'est très facile, des excès de vitesse par inattention.
Monsieur le maire : les gens ont passé leur permis. Ils doivent respecter le code de la route. Point final. A petite vitesse, le danger de l'accident est moins fort, mais sur des grandes vitesses le danger est plus important, c'est ce qui est arrivé hier soir malheureusement.
Hervé : et c'est ce qui est arrivé sur l'autoroute A23 jeudi.
Monsieur le maire : c'est toujours regrettable, il faut savoir que c'est une départementale, il y a beaucoup de voitures. Les gendarmes font leur travail, ils sont souvent là, ils ont du mal à prendre des excès de vitesse sur la route de Tournai. Ça prouve bien que les gens roulent beaucoup moins, ils ne peuvent plus rouler vite avec ses chicanes, du coup ils ralentissent, ils prennent le temps. Il y a très peu d'incivilité. Et quand il y en a eu de toute façon, quand ils passent tous les deux ça coince, c'est inévitable, en général, il y a vraiment très peu de problème. On n'a pas eu d'accident grave sur les chicanes depuis 2018, depuis leur implantation, depuis la mort de ces personnes-là où j'ai passé 5 heures sur place. Qu'est-ce qu'on peut faire, ce sont des personnes irresponsables et que malheureusement ils ont enlevé la vie.

Danièle Vermandère : Hervé, tu as dit que les travaux à compter du 21 mars pour la rue Davaine, on va pouvoir repasser rue Bouchard ?
Monsieur le maire : que le soir après 17 heures. C'est décaissé, vous pourrez rouler, par contre il ne faut pas rouler avec une voiture basse.
Hervé : l'ensemble sera remis à la circulation en même temps parce qu'ils vont faire l'enrobé de la rue des fèves à la rue de chorette, d'une seule traite.
Monsieur le maire : ils vont remonter le niveau après. On aura des niveaux beaucoup plus bas, un peu comme on a eu rue de la perdrix un moment et qu'on pouvait rouler.
Hervé : Rue des fèves, la fin des travaux est programmée autour du 10-15 avril.

Sébastien : Monsieur le maire, j'aurai encore une chose. Je voudrai reparler de la TEOM.
Monsieur le maire : je ne vous répondrai pas ce n'est pas le sujet d'aujourd'hui.
Sébastien : Ce n'est pas pour faire chier comme dirait monsieur Robin.
Monsieur le maire : ce n'est pas mes propos monsieur Drappier
Sébastien : ce ne sont pas les miens non plus, ce sont ceux de monsieur Robin.
Monsieur le maire : c'est facile avec un opposant comme monsieur Renaud, c'est très facile de monter la sauce. Vous n'êtes pas là pendant 5 ou 6 heures mais vous regarder peut-être sur YouTube.
Sébastien : j'invite d'ailleurs tout le monde à le faire.
Monsieur le maire : il y a 193 personnes qui regardent sur 160 000 habitants.
Sébastien : c'est dommage qu'il n'y en ait pas plus, c'est très intéressant. Monsieur le maire attendez, il y a une chose : ce n'est pas dans le but de créer encore une polémique mais j'ai quand même noté lors du dernier conseil communautaire que le président allait parler d'une TEOMi. C'est quelque chose qui me tient à cœur. Je pense qu'on peut réduire nos volumes de déchets par une incitation fiscale et aussi faire quelques économies sur cette taxe d'enlèvement d'ordures ménagères.
C'est quelque chose qui va évoluer, arrêtez-moi si je me trompe.
Monsieur le maire : Oui
Sébastien : il a dit qu'il prenait le temps.
Monsieur le maire : on ne va pas vous attendre pour ça, on est en train d'y travailler.
Sébastien : je me doute. On nous a aussi présenter le pacte de gouvernance. Pourquoi ne mettrions-nous pas quelque chose en place ici au sein du conseil municipal. Calmement et pas pour s'engueuler.
Monsieur le maire : ce n'est pas la compétence
Sébastien : ce n'est pas la compétence, donc le pacte de gouvernance c'est de la poudre aux yeux.
Monsieur le maire : pourquoi de la poudre aux yeux ?
Sébastien : c'est pour rapprocher les élus des communes avec les EPCI. Ce n'est pas de notre compétence, allez passons à autre chose.

Henri-Jean Lisse : J'avais levé le doigt discrètement. Par rapport à certaines personnes qui aurait évoqué l'éventuelle petite responsabilité des chicanes, il ne faut pas oublier par exemple que lorsqu'on met une ceinture de sécurité, en cas de choc brutal, il y a parfois des lésions. Il y a parfois des dégâts dus à l'airbag, ça existe. Est-ce pour autant on remet en cause l'existence et le port obligatoire de la ceinture de sécurité et l'utilisation de l'airbag ? Non. Parce que globalement, même si parfois il y a des petits problèmes liés au port de la ceinture ou à l'utilisation de l'airbag, on sait très bien qu'il y a beaucoup plus d'avantages à mettre sa ceinture de sécurité globalement et a utilisé l'airbag qu'à ne pas les utiliser. Donc si on se focalise sur les dégâts éventuels, au niveau des chicanes, certains pourront dire : « Peut-être que dans le cas présent ... » . Peut-être, mais de toute façon il faut voir les choses globalement comme je viens de le faire avec la ceinture de sécurité et l'airbag. C'est mon point de vue.
Hervé : avant de rendre obligatoire la ceinture de sécurité sur les véhicules en France, il y avait 15 000 morts par an.
Sébastien : 1972 la pire année
Hervé : effectivement la ceinture de sécurité peut créer des traumatismes thoraciques en cas de choc.
Henri-Jean : et comme on peut casser des côtes quand on sort de la voiture ou un massage cardiaque. Est-ce qu'on remet en cause le massage cardiaque s'il y a des côtes cassées non. Il n'y a rien de parfait. Il faut avoir ça en tête, le rapport bénéfices/risques, comme le vaccin.

Monsieur le maire : pour les vestiaires du foot, je te laisse la parole.
Emmanuel Tirlemont : Vous avez vu qu'il n'y a plus de bâtiment. On l'a rasé et ça s'est bien passé. La prochaine étape, on va commencer les travaux de VRD et ensuite les travaux de gros œuvre. On est sur ce qu'on avait annoncé lors de la présentation du projet au conseil municipal. Je m'attacherai à vous faire un retour à date. Ça se passe très bien, je suis content que Jérôme soit là. Il peut témoigner de notre bonne collaboration. Ça avance comme on le veut et comme on l'a décidé ensemble.
Sébastien : dans le budget prévu ?
Monsieur le maire : On est à peu près dans l'enveloppe.
Emmanuel : le prix des matériaux se sont envolés.
Monsieur le maire : Emmanuel a fait ce qu'il fallait, il a essayé de renégocier un petit peu avec l'architecte mais les matériaux ça devient très compliqué. Ça devrait rentrer à peu près dans les clous. On ne sera pas dans les clous exactement.

Agendas

  • Commission finances le mardi 15 mars à 18h00
  • Remise des médailles : samedi 19 mars à 10h00
  • Vote du budget : mardi 29 mars à 19h00


La séance est levée à 19h57



Vous pouvez télécharger le compte-rendu sous format pdf